La forte croissance des cryptomonnaies s’est fait remarquer à partir de 2021. Dès lors, les investissements pleuvent et des innovations sur les monnaies virtuelles émergent. Toutefois, il existe bel et bien un parallélisme flagrant entre cette montée et des répercussions écologiques. En quoi ses monnaies virtuelles constituent une menace pour l’environnement ? Comment contribuer à un impact positif des cryptomonnaies sur l’écologie ? Cet article vous informe de tout.
Le minage des cryptomonnaies : Une dépense d’énergie
Le processus de minage constitue une importante problématique pour les cryptomonnaies. En vérité, elles contribuent à une forte dépense en énergie. En effet, grâce à la Blockchain, les mineurs se doivent d’accomplir leurs missions. Par l’usage de machines performantes, ils ont pour obligation de compléter les blocs de transactions à un réseau. La nécessité économique de rendre plus performantes leur technologie les oblige à dépenser autant d’énergie. En d’autres termes, ils se doivent d’user plus de calcul, plus d’électricité, plus de machines pour plus de résultats. Cet article approfondi au mieux la notion du minage.
Afin de pallier ce déficit écologique qui se créerait, une alternative est utilisée par les mineurs. Il s’agira d’utiliser de l’énergie renouvelable. L’hydroélectricité ainsi que la géothermie est une idée très optionnelle pour eux. Les mineurs cherchent où se trouve une énergie moins chère pour ne pas être en pertes. Cela pourrait les amener à exploiter l’énergie non utilisée à leurs fins. L’avantage d’éviter la dilapidation de l’électricité est ici brandie.
Le Bitcoin, une cryptomonnaie gourmande
Cela fait quelques années que le Bitcoin s’impose comme leader mondial de la cryptomonnaie. Mais en réalité, derrière cette première position, se cache une véritable dépense. Concrètement, il s’agit de la cryptomonnaie dépensant le plus d’énergie au monde. La consommation en énergie est calculable par les écologistes qui brandissent rapidement ses méfaits. Dès le début de l’année 2022, 0,62 % de la consommation mondiale d’électricité auraient été consommés par le Bitcoin. Un pourcentage bien plus important que certains pays d’Europe.
Plusieurs raisons justifient cette dépense énergétique. Le Bitcoin n’est pas une monnaie ou une devise simple et se doit d’admettre des sécurités. Basée sur la Blockchain, elle permet la fiabilité des transactions et des échanges. Ainsi, l’intérêt d’assurer une sécurité efficace exige une véritable consommation énergétique. De plus, les transactions régulières qui s’effectuent sur les plateformes d’échanges doivent être protégées. De même, pour pouvoir trader efficacement de la cryptomonnaie, n’hésitez pas à aller sur les bitcoin 360 ai !
Les cryptomonnaies pour changer la donne
Il est donc véritablement reconnu que les cryptomonnaies dépensent énormément d’énergie. Mais malgré cela, tant décident de prendre des décisions radicales, œuvrer pour l’écologie. C’est le cas de Peercoin qui utilise la méthode de « preuve d’intérêt ». En effet, plutôt que par une technologie, c’est l’utilisateur qui valide les échanges. Ce protocole ne fait donc pas intervenir une complexité de calculs. Il y a alors peu de dépenses d’énergie et de puissance pour la réalisation.
C’est le même cas pour une autre cryptomonnaie, Chia. Conçue en 2017, elle se base sur un tour autre système pour les transactions. Elle utilise une preuve d’espace et de temps très performante nécessitant des calculs. Mais ses calculs montrent que l’utilisateur est apte à la transaction à effectuer. De même, elle limite les besoins énergétiques et est plus écologique.
Les cryptomonnaies ont un poids non négligeable sur la finance mondiale, mais aussi dans l’environnement. Ceci est causé par l’utilisation de technologies bien plus performantes pour résoudre des problèmes de plus en plus complexes. Si d’autres cryptomonnaies émergentes et réclament leur authenticité, il faut bien dire qu’elles ont tout de même un impact. Trouver une solution et une alternative plus stable sera donc un défi pour les prochaines années.